
Faire accepter le suivi du temps à votre équipe : 7 clés pour surmonter les résistances

Faire accepter la saisie des temps, c’est souvent plus une question d’adhésion que de méthode. Vous avez choisi un bon logiciel, testé des fonctionnalités, planifié l’implémentation… mais au moment de le déployer : rejet, incompréhension, inertie.
👉 Le refus ne vient pas de l’outil, mais de la perception du time tracking par vos équipes.
Voici 7 leviers concrets pour faire accepter la saisie des temps à vos équipes. Sans tensions, sans flicage, et avec une vraie adhésion.
1. Expliquez pourquoi vous mettez en place un logiciel de suivi du temps
Beaucoup de blocages viennent d’un manque de transparence.
Soyez clair dès le début : un logiciel de suivi des temps de travail n’est pas un outil de contrôle, c’est un outil de pilotage. Il permet de :
- Suivre les temps facturables
- Estimer la rentabilité des projets
- Répartir le travail plus équitablement
- Anticiper les risques de surcharge ou d’épuisement
Et surtout, il simplifie la vie des managers et des équipes, notamment dans les agences de communication où la multiplication des projets rend la visibilité encore plus importante.
2. Dites aussi ce que le time tracking n’est PAS
Vos équipes ont peur d’être surveillées ? Qu’on évalue leur performance au nombre d’heures ? C’est compréhensible.
Expliquez ce que vous ne ferez pas :
- Pas de captures d’écran
- Pas de micro-gestion
- Pas d’évaluation sur la productivité perçue
Le bon logiciel de suivi des temps ne suffit pas. Il faut que vos équipes en comprennent les bénéfices, pour qu’elles l’adoptent réellement.

3. Intégrez le time tracking au quotidien (et pas comme une tâche en plus)
Un logiciel de suivi qui fonctionne, c’est un outil invisible. Il doit s’intégrer au flux de travail existant : Slack, Teams, navigateur, appli mobile, etc.
Moins il y a de friction, plus l’adoption est naturelle.
Certaines équipes préfèrent encore comptabiliser leurs heures sur un fichier partagé plutôt que via un logiciel. Si c’est votre cas, il est possible d’optimiser ce fonctionnement grâce à un suivi des temps structuré dans Excel ou Google Sheets.
4. Formez votre équipe même si l’outil est simple
Ne supposez pas que tout le monde saura utiliser le nouvel outil intuitivement. Même un chatbot Slack demande un peu d’explication :
- Quand saisir ?
- Comment modifier ?
- Qui voit quoi ?
Prenez 30 minutes pour tout expliquer. Faites une démo. Répondez aux questions. Ça fait toute la différence.
5. Partagez les résultats avec votre équipe
Ne gardez pas les rapports pour vous. Montrez :
- Où passe le temps
- Quels projets consomment plus que prévu
- Où les marges sont bonnes (ou pas)
Plus vos collaborateurs voient l’impact réel de leur suivi, plus ils comprennent son intérêt. Le bon outil de time tracking (utilisé avec transparence) renforce leur collaboration et responsabilisation.

6. Écoutez les feedbacks
L’adoption n’est jamais linéaire. Certains vont adorer, d’autres râler. Et parfois, ils auront raison.
Organisez une boucle de feedback simple : formulaire anonyme, discussion informelle, canal dédié. Et adaptez votre usage de l’outil en conséquence.
C’est comme ça qu’on construit une adoption durable.
7. Valorisez l’effort
Remerciez ceux qui jouent le jeu. Même si c’est symbolique. Un mot, un café, un Slack public, une récompense légère. Le renforcement positif est souvent plus puissant qu’un rappel automatique.
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En résumé
Faire accepter la saisie des temps à votre équipe demande un peu de méthode, beaucoup de pédagogie, et les bons outils.
Surtou, la saisie des temps ne doit pas être un combat. Si vous l’introduisez avec clarté, respect et utilité, vos équipes vont l’accepter… et y adhérer vraiment !
Et vous ? Quelles sont les résistances que vous rencontrez ? N’hésitez pas à nous contacter, on vous aide à les surmonter. 😉